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CRIS-ACTION OU GESTION DE CRISE DE COMMUNICATION

En ces temps de crise et de contestation sociale, la communication de crise devient primordiale pour éviter des conséquences fatales. Elle doit savoir gérer l'urgence avec assurance et surveiller les déclarations et la production l'information pour ne pas tomber commettre d'erreur d'appréciation ou tomber dans l'intoxication ou la diffamation. , PRODECOMMUNICATIONS propose alors des pistes de réflexion et des axes d'action. Pour cela, il faut de l'anticipation et de la prévention pour éviter les effets négatifs de crise de communication synonyme de panique et de cafouillage, et construire un plan de maitrise de la situation sans crispation, avec responsabilité, fermeté, flexibilité, visibilité, humour et modération.

L'imprévu, les accidents du parcours, le doute, les rumeurs et la guerre psychologique des concurrents ne doivent pas faire perdre au décideur son calme pour gérer l'urgence avec discernement et assurance sans paniquer et tomber dans le cafouillage qui aggrave les blocages.

Parler oui mais non pas pour laisser n'importe qui dire n'importe quoi et au lieu de calmer les esprits ne fait que les agiter davantage.

Le décideur doit savoir rassurer  et protéger, convaincre et maitriser la situation par une pédagogie d'explication qui dissipe les incertitudes et met fin aux rumeurs et aux exagérations.

Autrement si le décideur est dépassé par les évènements, il est piégé par la communication de fatalité qui ne découle pas d'une conviction d'exigence pour donner du sens et assumer les conséquences de l'urgence. Il devient otage  d'une improvisation de circonstance bâclée qui plus elle essaye d'expliquer la situation devient plus compliquée.

La communication de crise devient alors un ratage et l'opinion publique plonge dans le mirage avec une embrouille du message, et l'entreprise risque le naufrage  par un flou d'image qui favorise les dérapages. 

Pour faire face à l'imprévisible et à l'urgence d'une crise inattendue, il faut investir dans l'intelligence économique, la veille concurrentielle et à la prospective stratégique pour élaborer une communication responsable et durable qui anticipe les tendances et préparent à l'avance les réponses pour ne pas être pris de court dans l'urgence.

 

La communication de crise regroupe à la fois, la communication interne, la communication institutionnelle, les relations presse et les relations publiques. La communication de crise se base sur de multiples aspects et doit être considérée dans sa globalité.

 

Une crise est considérée comme telle lorsqu’il s’agit d’une période de difficultés liées à un événement imprévu. Cette période entraine l’apparition de dysfonctionnements qui mettent en péril l’image d’une entreprise ou d’une marque. Ces dysfonctionnements entrainant alors un ensemble de changements afin de régler les problèmes rencontrés.

Cette situation amène de nouvelles parties prenantes à se manifester dont l’objectif est de comprendre ce qu’il s’est passé et d’exiger qu’on leur rende des comptes: pouvoirs publiques, associations de consommateurs etc…

Cette situation peut avoir de sérieuses conséquences en termes de:

  • image

  • réputation

  • fidélité et confiance des clients

  • chiffre d’affaire en baisse

  • perte de confiance des partenaires ou des fournisseurs

  • motivation des salariés

  • peur des salariés de perdre leur emploi, climat tendu et salariés moins productifs

     

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